Publié le 12/01/2009 à 12:00 par couleursdecultures
Au long des 1 700 Km parcourus, nous avons traversé les paysages tantôt désertiques du Nord de l’Espagne, tantôt verdoyant des champs interminables d’oliviers plus au Sud.
Puis le Maroc, cette année, c’est 20 minutes seulement que nous proposera la douane Marocaine. C’est donc tôt dans la matinée que nous retrouvons les couleurs, et odeurs et les sons du pays.
Petite nouveauté pour nous : aucune panne jusqu’ici… Merci camion !
Publié le 18/01/2009 à 12:00 par couleursdecultures
Après avoir traversé le col du Tichka, nous apercevons enfin le village de Tazadoute. A notre grande surprise, le sentier à été modifié à cause d’un éboulement. Il nous faudra donc compter 10 mètres de plus avant de prendre la piste, traverser le cours d’eau, slalomer entre les trous et les cailloux, et le reste, vous connaissez déjà…
Publié le 22/01/2009 à 12:00 par couleursdecultures
Avec joie, nous retrouvons nos amis Tazdoutis, et c’est après les avoirs salué que nous apprenons que l’école est en grève, par solidarité avec Gaza. Symboliquement, le ministre à même annulé la fête du nouvel an dans tout le Maroc.
Donc pas d’atelier de musique pour le moment… !
Publié le 29/01/2009 à 12:00 par couleursdecultures
geste de pensée aux pauvres
Toutes les personnes ayant les moyens, comptabilisent leurs économies. Si un certain montant est resté toute
l’année sur le compte, il faut calculer 2,5 % de cette somme et la donner aux pauvres en commençant par la famille. On achète également des jouets pour les enfants et des percussions. Ainsi les enfants jouent devant les portes des maisons et demandent quelques dirhams.
Publié le 02/02/2009 à 12:00 par couleursdecultures
C’est grâce à la maison de retraite de Sainte Hermine et aux autres donateurs que l’association couleurs de cultures a pu offrir une bibliothèque (environ 200 livres) à l’école de Targa. (Petit village se situant dans le col du Tichka, en face Tazadoute).
Publié le 05/02/2009 à 12:00 par couleursdecultures
Toutes les personnes ayant les moyens, comptabilisent leurs économies. Si un certain montant est resté toute l’année sur le compte, il faut calculer 2,5 % de cette somme et la donner aux pauvres en commençant par la famille. On achète des jouets et des percussions pour les enfants qui iront joués devant les portes des maisons pour avoir quelques dirhams.
Publié le 07/02/2009 à 12:00 par couleursdecultures
Et la route continue, nous passons dire bonjour à Dav et Aurèl un ou deux jours dans le sud du Maroc. C’est finalement dix jours que nous poserons nos bagages pour leur donner un petit coup de main pour la mise en place de leur magasin de souvenir marocain et africain. Si l’occasion se présente, n’hésitez pas à y faire un tour…
Publié le 07/02/2009 à 12:00 par couleursdecultures
Et nous continuons à voir des paysages qui maintenant, deviennent familiers. Hein Albert ?
Publié le 11/02/2009 à 12:00 par couleursdecultures
La création de ASSUREME-RUE-MALI (Association pour la survie l’encadrement des mères et enfants de la rue au Mali) remonte à l’année 1998 à Bamako sous les directives de Pona Hawa CAMARA, la fondatrice.
Cette association a pour but :
- Identifier et encadrer les enfants en situations difficiles,
- Leur apporter un cadre de vie familiale équilibré,
- Leur donner une éducation sociale et culturelle,
- Les protéger de toute forme de service et d’exploitation,
- De faire de ces enfants de bons citoyens
En marge de ce rôle important et délicat, ASSUREME – RUE – MALI participe également à l’encadrement, au suivi des mères et enfants séropositifs ainsi qu’à leur réinsertion dans la vie sociale.
A l’époque, Hawa, qui été en location, commençait à recueillir des enfants chez elle. La maison a fini par être trop petite. Elle à donc créer l’association, la difficulté étant au début de trouver un nom qui ne déstabiliserait pas les enfants en age de comprendre. (orphelinat ou autre) Puis un centre d’écoute ou les parents (ayant un enfant malade par exemple) viennent pour se faire aider.
Aujourd’hui, il y à la pouponnière, actuellement 21 enfants, et le centre d’écoute qui dispose d’une cour pour les plus grands, au nombre de 16. La plupart des enfants sont envoyés pas la brigade des mœurs, certains sont déposés directement devant la maison.
Le financement se fait avec des gens « de bonne volonté » et des partenaires espagnols.
Le rêve d’Hawa est d’avoir les moyens financiers de construire une maison où la pouponnière et le centre soit un seul et même lieu, avec une cour pour que les plus grands puissent courir, aller et venir. Qu’ils ne se sentent pas emprisonnés, qu’ils se sentent chez eux.
« Le plus dur à gérer est le quotidien, on se dit toujours qu’on ne fait pas assez, alors qu’on fait déjà le maximum »
Pona Hawa CAMARA
Publié le 11/02/2009 à 12:00 par couleursdecultures
Cette année, le camion aura acheminé des couvertures (faites main par les femmes de la maison de retraite de Sainte Hermine), des jouets, des peluches et quelques médicaments pour le centre.